Re : Le petit Bonjour –
04/12/2013,16h08
C'était -1*C en externe, à mon lever du corps, ce matin.
Je vous trouve incroyable. Depuis quelques 4 ou 5 hivers, je vous lis et comprend que vous utilisez vos motos et scooters quotidiennement, par des températures baissant jusqu'à -5*C. Je comprend le besoin, notamment pour les métropolitains voulant éviter les autres moyens de transport mais quand même... Vu d'ici, c'est tout simplement inimaginable!
Je vous mets quelques photos prises rapidement, ce matin. devant mon petit chez moi. Ici, c'est le 4ième matin de suite à environ -1*C, avec un thermomètre qui va de -5*C à +4*C. Quatre jours, très peu de neige ou de pluie (bruine, hier soir, par -2*C!) et voilà ce que cela donne.
Mes excuses pour l'inversion: je ne sais comment les placer correctement! Mes lacunes en html, suppose-je... Quelqu'un peut-il m'informer sur la façon de les placer correctement?
En hiver, par ici, c'est ça: il y a toujours de glace ou de la chaussée glissante partout! Sur les grandes routes nationales, l'épandage des mélanges de sable et sel avec un important trafic permet une chaussée sèche avec une bonne adhérance très rapidement. Mais partout ailleurs, la chaussée reste très glissante à peu près tout le temps. En 4-roues, ça va: pour peu que les pneus sont bons, avec une bonne conduite bien adaptée aux conditions ambiantes, tant qu'une roue conserve l’adhérence suffisante pour tenir, le contrôle est bon. Mais en 2-roues, il en est tout autrement: dès qu'une roue perd l'adhérence, c'en est fait! Donc, par ici, dès que les températures passent le cap du 0*C, tout monde range son 2-roues pour la saison hivernale.
Ce qui n'est pas le cas par chez vous: à l'évidence, votre climat continental est beaucoup plus sec que par ici. À vous lire, j'ai l'impression que la chaussée glissante est occasionnelle, par chez vous. Ce qui est carrément inimaginable, par ici: la chaussée hivernale, par ici, c'est glissant par défaut!
Moins la télévision est publique, plus elle est profitable, ne faisant plus appel qu'aux auteurs publics. - Achille Talon, érudit diplômé