Bonjour,
pas d'inquiétudes, chaque version du livret reprend évidemment les spécifications des modèles précédents, et entre K3 et K4 de mémoire, il ne me semble qu'il y ait eu de changements.
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Pour changer la roue arrière, effectivement, c'est coriace, il faut "surélever" l'appuie de béquille du 650 (les pros du pneu utilisent un pont élévateur à "fond" amovible)... et encore tu n'as pas trop souffert pour dévisser la broche d'axe (souvenir !).
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Pour le filtre à air, c'est vrai, la première fois on hésite un peu tellement il faut tirer fort (avec une pince même) pour l'extraire.
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About bougies : je me demande si tu as bien suiv la bonne procédure . Car effectivement, la chose est peu évidente, mais pas insurmontable.
A- Tourner la roue avant à gauche
B- retirer la plaque noire [6] qui entoure le radiateur (2 vis, 2 clips).

C- dévisser la vis de retenu du radiateur.

D- faire pivoter le radiateur sur sa charnière.

... maintenant les deux bobines HT et bougies apparaissent enfin.

Mais c'est pas la peine de démonter quoique ce soit d'autre. que le "B".

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Pour retirer le vide poche :
retirer les caches guidons (pas indispensable mais préférable).
Dévisser les 8 vis
, ouvri les deux vides poches latéraux, glisser les pouces à l'intérieur, serrer fort avec les autres doigts en pinçant le dessus des boites, tirer d'un coup sec vers l'arrière [FORTEMENT rien de peut casser].
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le capot moteur est seulement maintenu "glissé" à l'avant.
Pour l'ouvrir, dévisser la vis supérieure, glisser un doigt dans les encoches (près des pieds) écarter en tirant FORT vers l'extérieur les agrafes, s'assoir sur la selle et tirer par les encoches fortement vers le haut... et hop, c'est ouvert. Comme précédemment on peut tirer comme un malade rien ne peut casser... conseil, il est plus facile de déboiter les plastiques lorsqu'ils sont bien chauffés par le moteur (assoupli).
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Rétrospectivement, je constate qu'en règle générale, sur le gros Burg TOUT est fixé très très fermement, mais qu'en même temps rien ne casse au démontage. Je n'ai pas l'habitude de faire des reproches infondés, mais je dois bien reconnaitre que sur ce point Piaggio ne m'avait pas laissé de si bons souvenirs (fin des critiques). Beau boulot Suzuki...*
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En tout cas, merci pour cet excellent debriefing... on attend la suite.
@plus
Pirmil

* sauf, le capot inférieur entre les feux arrière dont les crochets plastiques sont immanquablement arrachés au premier démontage... heureusement, ils ne servent à rien !