On oublie de dire qu'ils ont un entraînement drastique les gars ... tous les matins ... ils prennent le train pour aller bosser.
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On oublie de dire qu'ils ont un entraînement drastique les gars ... tous les matins ... ils prennent le train pour aller bosser.
Une info qui a toute sa place sur notre forum ! :
Et puisque l'on parle d’Angoulême, le Fauve d'Or (ou prix du meilleur album) a été décerné à Riad Sattouf pour le premier tome de l'Arabe du futur, Riad Sattouf étant également l'auteur de Pascal Brutal (pour le tome 3 duquel il avait déjà été couronné en 2010), l'homme à la moto qui m'a tout l'air d'être une Ducati (une sportive rouge, c'est une Ducati) :
Euh s'est pour moi l'clin d’œil du type qu'est brutal (mdr) ? Bon si je peint Pupuce en rouge j'aurais enfin droit à un peu de reconnaissance : Une blondasse vulgaire et une brune à la peau mat ( en passant) qui pense qu'à bouffer des twix ? A voir...
Sinon perso j'aime pô le graphisme, comprend pas le couronnement de 2010...
@+
krisscc (02/02/2015)
Dans la série la passion n'a pas de frontière; heureux hasard ! Je tombe sur cet article de Moto Revue; Akira tourne vraiment sur circuit et c'est une moto même si les pièces elles sont...en partie !
Mais c'est surtout l'aventure de cette petite équipe de pros et de passionnés qui mérite d'être notée, tout comme dans un autre registre le travail passionné de ce façonneur de motos japonais installé aux qu'est Shinya Kimura.
Il est né en 62 dans le "vieux" Tokyo, il raconte qu'il a été élevé entouré par les odeurs d'huile et d'acier et par le son des moteurs. Et c'est pour ça qu'il pense que la vie qu'il mène lui convient bien !
Il continue; <<j'ai bien des images mais je ne suis pas inspiré par une chose en particulier, je ne dessine pas non plus, je découpe l'acier ou je plie l'aluminium, et j'écoute ce que je ressens à ce moment.
J'utilise seulement mes mains, je courbe le dos et je fais la moto. Je crois que ça parle à l'émotion des gens, et ça fait qu'ils en veulent une. Une moto doit paraître bien par elle-même (par ce qu'elle dégage; ndtrl), mais elle est incomplète jusqu'à ce qu'une personne la monte.>>
...<<Pour moi une moto est plus que de l'Art. C'est quelque-chose qui me fait ressortir mes instincts; la sauvagerie et la vulnérabilité que j'ai en moi, sans ressentir comme cela a l'air violent vu de l'extérieur ! Je suis alors complètement serein !>>
...Plus loin quand il roule:<< le sol et le ciel sont si clairs qu'il n'y a pas de frontière entre-eux.>>
...<<Je n'ai jamais piloté, mais c'est comme avoir le sentiment de voler dans un avion, avec ce moteur qui vous procure la même sensation >>
...De retour dans son atelier: <<Je ne peux pas vous dire combien tout cela est apaisant>>
Dernière modification par GO ZEN ; 03/02/2015 à 00h59.
chapaioux (03/02/2015), Granturismo (03/02/2015), WD 40 (03/02/2015), xelos33 (03/02/2015)
Hunter S. Thompson ne renierait pas ce grand moment de gonzo journalism : Arnaud Le Gouic signe l'enquête "On a testé la formation au scooter 125 cm3" pour le fameux hebdomadaire Côté Yvelines.
Rappel : "Pour circuler en 125cm3 ou en trois roues, il faut avoir passé son permis avant 1980 ou avoir conduit un tel engin au cours des 5 dernières années, certificat d’assurance à l’appui. Sinon, il faut passer par la case formation de 7 heures en complément du permis B (auto) datant d’au moins deux ans. Membre de la dernière catégorie, j’avais deux choix : trouver une auto-école conciliante et la soudoyer, ou être un bon citoyen. J’ai fait le second choix."
Déroulement de la journée : 1h30 d'exposé sur le sécurité, pratique sur plateau ("Les plus chanceux chevauchent des trois roues rutilants. Les autres doivent se contenter de scooters portant les stigmates des formations précédentes. On fait quelques tours en rond avant de s’attaquer à la partie technique : le parcours lent du permis moto et ses redoutables cônes"), pause déjeuner (l'article ne précise pas si les candidats pouvaient boire de l'alcool), nouvel exposé sur les autres usagers ("les cyclistes qui ne font attention à rien, les piétons qui forcent le passage, les automobilistes qui oublient les priorités et même des autres deux roues qui nous colleront"), la remontée de file et les distances de freinage, puis pratique en circulation "y compris pour ceux qui étaient en difficulté sur le plateau et sans même contrôler la maîtrise du code de la route".
Conclusion intéressante : "Durant cette journée, rien n’est éliminatoire. Il suffit de payer. Être bon citoyen ne m’aura pas forcément rendu meilleur motocycliste."
Prix de la formation : entre 250 et 300€.
Où l'on reparle, sur le site de la NDTV (chaîne de télévision de New Delhi), des cérémonies organisées pour fêter l'avènement de la République indienne (Republic Dat Parade): "Barack Obama's Third Shoutout for Daredevils on Royal Enfields" .
Barack Obama aurait tellement apprécié la parade sur Royal Enfiel qu'il l'aurait évoquée 3 fois en 24 heures.
"J'ai vu ces casse-cous (dardevils) sur leurs motos Royal Enfield", se plaignant que les services secrets ne le laissaient pas faire de la moto.
Autre article sur le sujet : "'Wouldn't Drive Motorbike After Watching the BSF Daredevils,' Says President Obama"
Dans les Echos, un parallèle hardi entre femmes motardes et femmes entrepreneures, L’entrepreneure du XXIème siècle : un mental de motarde, l'article étant signé par Hélène Jaouen, gérante de LNLM, boutique parisienne et en ligne d'équipement moto pour femmes, cela expliquant peut-être ceci.
(Chapi) Chapô : "Le changement de regard porté aux motardes - qui évoluent dans un monde très masculin - pourrait encourager les femmes chefs d'entreprise à suivre le même exemple en s'épanouissant dans leurs projets entrepreneuriaux.", suivi de l'introduction suivante : "L’entrepreneure installée à la tête de son entreprise et la motarde installée au guidon de sa moto ont au moins deux points communs : le premier, c’est d’évoluer dans un univers dont les repères sont majoritairement masculins ; le second, c’est de devoir assumer une image sociologique dépendante de nombreux clichés. Cet état de fait apparaît comme une évidence quand on travaille au carrefour de ces deux mondes."
S'ensuit une étude sur l'image des motards et motardes au cinéma, un laïus sur "la motarde du XXIème siècle, une femme libre et libérée" et une présentation de "l'entrepreneure, une figure en construction", le lien entre les 2 n'étant pas très convaincant.
Il y a pire que nous .....https://www.youtube.com/embed/5vr66IMAcPA
Kriss
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