Les parasites, tout puissants et tout universitaires qu'ils soient, n'ont aucun intérêt à préserver le système; lorsque la poule aux oeufs d'or sera tarie, leurs fortunes seront bien aux chaud, dans leurs paradis fiscaux de prédilection. Que les écoles, les hôpitaux, les routes et les usines de leur pays d'origine ne fonctionnent plus, ils n'en ont cure, bien au chaud qu'ils seront à siroter leur liqueur équatoriale.

Quand les actuels gvts allemand et français crient à l'urgence d'intervenir en ce domaine, c'est très exactement à cela qu'ils font allusion. Et c'est pareil partout ailleurs, dans le monde.

Et quand les Tea Party clament haut et fort, comme ils l'ont fait hier soir, qu'il faut laisser le libre marché avoir libre cours en ces matières, ben... faut les comprendre, n'est-il pas? Eux aussi, ont des commanditaires à respecter...