Ta poésie m'a fait prendre une Courbe dans la ligne droite fuyante qu'était ma journée …
Merci !
A+
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Ta poésie m'a fait prendre une Courbe dans la ligne droite fuyante qu'était ma journée …
Merci !
A+
Le joli galbe de tes mots a touché les circonvolutions de mon cerveau tortueux.Pour moi l'affaire est dite ... (pour aujourd'hui) j'oserai dire que la boucle est bouclée ...
C'est beau, et je te remercie pour le merveilleux moment passé à te lire.
Poursuis ces courbes qui te hantent, et conte-nous encore les spires de ton circuit,
Ô toi, l'homme tournant .
Tu me fais tourner la tête ...
Mon manège à moi ...
C'est te lire ...
V
La ligne droite c'est le bras détendu pour frapper. La ligne courbe, c'est le bras replié pour aimer.
[Germaine Beaumont]
Chouette!!!! Aslio
encore un bien beau texte
un bien bel hymne a la courbe
aux courbes
vivement ce soir, que je remonte sur mon 2 roues, que j'aille a la recherche de courbes !!
Lionel,
j'imagine que tu n'as pas tiré un trait sur tes rondeurs ?
Superbe ode.
Quelques fers a cheval qui ont du être sympa a prendre avec ton fidèle destrier.
Magnifique rondeur du verbe choisi, courbes inanimées avez vous donc une âme pour ainsi troubler le coeur de notre ami Lionel et lui faire retranscrire, picturalement et verbalement la magnifiscence de ce que nous affectionnons, la rupture de la droite ligne vers un ailleurs fait d'angles et de trajectoires douces ou sportives faisant fusionner l'adrenaline aux fond de notre cerveau de passionnés. Merci Lionel
ma modeste contribution......
La Courbe de tes yeux
La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.
Paul ELUARD, Capitale de la douleur, (1926)
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