Arf, je réponds un peu tard désolé : Un clip, plutôt fin, empêche le capuchon de sauter. Il faut exercer une bonne pression sur le capuchon en téflon à l'aide d'une barre de diamètre ( mince chais + ! ) de +-400 mm pour l'apercevoir et l'extraire rapidement de sa gorge avec un petit tournevis plat et de pref très fin sur son épaisseur pour déloger ce clip plus facilement..
C'est un sacré coup de main à prendre ( j'ai pas des bras de bucheron mais on y arrive quand même ), je procède comme cela : Le cul par terre, pour un meilleur confort ds la manip, je plaque le fourreau contre le mur du garage ou ds l'angle sol/mur ( selon chacun ) via une planche bois épaisse, à l'opposé au bout de la barre je plaque simplement mon torse (!) via une bonne épaisseur de chiffons ou autre Jean à la ramasse ( éviter une planchette, si ça rippe = bobo au ventre par ex. ). Ecraser au mieux le ressort pour dégager suffisament d'espace sur le clip ! Bon c'est la méthode "pas-détau-tu-te-débrouilles", mais ça fonctionne. De la main gauche j'agrippe le fourreau pour repartir au mieux l'effort à l'écrasement du ressort ( manipe plus simple à la repose ), et de l'autre pour extraire calmement la goupille avec le petit tournevis, c'est vraiment un coup main à prendre !. Mais je ne connais pas la force qu'exerce les ressorts sur le 500 ( calles de contraintes suplémentaires ? )...
Lorsque le clip est libéré il faut impérativement apposer la main via le gros chiffon sur le capuchon qui va remonter un peu, son joint torique va finalement se retrouver coincé ds la gorge du clip, théoriquement le capuchon ne peut pas sauter mais bon, pour l'extraire il faut toutefois pomper fortement sur le tube plongeur, et le capuchon finira timidement en toute sécurité sa course dans le chiffon. Si le tube est laissé ouvert pendant l'extraction le capuchon sera alors violement éjecté, et au pire arrachera sans complexe un oeil un passage...!
En règle générale le torique du capuchon se trouve rogné, passé la gorge du clip ( usinage coupant ) son coût est une misère au SAV...