Par ici, les 400 et moins font moins de 10% du marché de la 2-roues routière. Leur incidence accidentologique est donc moindre, voire négligeable. On voit assez aisément que la majorité des accidents avec 150 et moins sont en milieu urbain, en déplacement pour le travail (ou étudiant!), peu de mortalité, beaucoup de bras cassés. On remarque très peu d'accidents dans cette catégorie en déplacement de loisir (promenade, achats urgents, etc...)

Pour les plus de 500cc, comme ils sont peu présents dans le traffic quotidien, leur accidentologie est en très grande partie en soirée et en fin-de-semaine, donc sur la grand route.

Faudrait voir si dans l'Hexagone, il en est de meme pour les 500 et plus: présence plus grande au quotidien, ou en dehors des périodes de travail? Car cela en fait deux mondes différents avec des conditions accidentologiques différentes: moins de 250 versus 250 et plus.