Re : En directe du pays de l'incertitude –
Je plussoie ô combien !
Je me suis effectivement haïs d'avoir cédé au chant des sirênes... Aïe le compte en banque, put## qu'elle est lourde la grosse vache (heu... baleine), mais pourquoi ai-je vendu mon scooter tout automatique ? Mais où sont les clignos ? Zut, je suis en seconde, trop tard, j'ai calé... Put## mais qu'elle est lourde la grosse..., zut je suis en 3eme, houla, un obstacle, je freine des deux freins... ah non j'ai débrayé en freinant !!! Zut, je ne suis pas encore un motard...
Allez, on se calme, elle est belle, elle est confortable (super extra confortable même)... on continue... je m'y fais de mieux en plus, ou de plus en mieux, enfin vous me comprenez...
Ballade chez l'ami Djédjé (vous savez, le lanceur de menhirs bretonnant). Whaoo, quel confort sur l'autoroute ! 200 km/h ? juste pour voir. Un char d'assault, que dis-je , un TGV !
Sortie de l'autoroute pour taquiner les charmantes routes bretonnantes... Mais elle y va la bougresse ! Elle les balance ses jolies fesses dans les virages bretons ! Quel bonheur... Finalement les vitesses, c'est le pied, en tous cas, c'est au pied que çà se passe ! Une fois qu'on s'y fait, çà devient un réflexe. Ah tiens, j'étais en seconde ? Bon en tous cas, on s'y fait de mieux en mieux (ou en plus, enfin vous me comprenez toujours n'est-ce pas ?...)
Retour vers Paris, du bonheur ! du bonheur et du bonheur ! avec en plus du méga confort, et un sentiment de sécurité jusque là inconnu avec mes différents 2 roues (que j'ai tous aimé !)
Dans Paris, je repeste ! Put## qu'elle est lourde, qu'elle est grosse, enfin moins depuis que je lui ai installé des couvercles de valises "slim fast" ! Mais je déteste le rétrécissement du tunnel de la concorde.
Allez, je change de chemin, et traverse Paris par des rues moins encombrées... Finalement, la moto à Paris, c'est possible, il suffit d'adapter son itinéraire.
Les finances ? bah, la côte de revente me rassure. Un jour, elle aura un nouveau proprio, c'est certain.
Le scoot ? c'est super. Il n'est pas dit que je n'y revienne pas un jour.
Pour l'heure, je me suis fait plaisir, il FALLAIT que je le fasse, et je suis de plus en plus heureux au guidon de ma BBB (Belle Baleine Bavaroise), et fier comme Artaban en plus.
Tu te tâtes ? Tu as déjà fait ton choix. On ne vis qu'un fois parait-il... profitons-en !
