Re : Passage du scooter à la moto...et inversement –
09/10/2009,03h04
Je suis passé de la Goldwing, que j'aimais bien, à la B.B.
Pour des motifs bien à moi...
... en fait, quand ma Goldwing 1200 a rendu l'âme, il n'y avait pas de machine sur le marché qui correspondait: confort à deux, maniabilité, manoeuvrabilité à basse vitesse, logement bagages, prises électriques, etc... Plusieurs modèles offraient l'une ou l'autre qualité, mais aucune offraient l'ensemble. C'est qu'à cette époque, la Goldwing était rendu à 1800cc, plus 1000kgs; or, comme la 1200 m'était déjà très limite sur ces besoins, notamment en manoeuvrabilité, ben... fallait autre chose. Un vendeur m'a offert une B.B. flambant neuve et... ça été ça.
La B.B. est mon premier scooter, avec lequel j'en suis à ma 5ième saison. Je ne les compte plus, mais il doit bien y avoir eu une cinquantaine de motos, en mes mains, avant mon scoot.
Pour ma part, la sensation d'être aux commandes d'une moto intersidérale, du type que l'on voit dans les "Stars War", lorsque je joue dans le traffic avec ma B.B., ça, c'est inégalable. La souplesse de commande de ce moteur allié à sa CVT m'épate encore à chaque fois que je la guidonne.
C'est simple: après toutes ces années et ces machines, je ne comprend pas ce que l'on peut encore trouver d'intéressant à jouer de l'embrayage, à passer des rapports de vitesse, à se casser la tête en situation difficile pour voir le bon rapport à passer... vraiment pas! Et pourtant, j'ai été un champion des situations difficiles. Un grand plaisir qui me reste, encore aujourd'hui, est d'enfiler sur plusieurs kms une route en gravier à 100kph avec ma B.B. C'est tout écrire!
Le moteur de 650cc est pour moi suffisant. Il est vrai, cependant, que j'ai toujours eu une préférence pour la catégorie des 650/750, pour son rapport poid/puissance qui permet des machines très maniables sans sacrifier au confort de la conduite. Toutefois, je me réserve quand même le plaisir de posséder un jour un scooter de 1000cc ou plus, si jamais on se décide à l'offrir sur le marché.
La Guerre des Étoiles, sur rue la Ste-Catherine, à Montréal, en aprem, avec 1000cc de souplesse sous la chaise, ça méritera assurément le détour.
Dernière modification par Chichille8 ; 09/10/2009 à 03h08.
Moins la télévision est publique, plus elle est profitable, ne faisant plus appel qu'aux auteurs publics. - Achille Talon, érudit diplômé