Puisqu'on parlait de la contrefaçon chinoise (ici), pas grand chose à voir avec les 2RM (quoi que, sans banque, pas de prêts, pas de prêts, pas de financement de l'économie ni de prêt à la consommation, donc pas de production ni d'achat de 2/3RM, CQFD ), les Echos nous apprennent que outre les produits de luxe, les 2 ou 4RM, les pièces détachées ou les médicaments, on n'hésite pas non plus en Chine à contrefaire... les banques.
Goldman Sachs en a été la victime (pour une fois qu'elle se trouve de ce coté-là de la barre...), une banque chinoise s'étant nommé "au hasard" Goldman Sachs (Shenzhen) Financial Leasing Co tout en reprenant "une police de caractères quasiment similaire" pour son logo.
Les Echos nous apprend que l'on appelle ça le "copycat", et que même les banques chinoises en sont victimes : "Il y a quelques semaines un chinois de 39 ans avait monté une fausse agence bancaire de la China Construction Bank , quatrième banque mondiale par sa capitalisation. Une vraie agence avec des guichets, des terminaux de carte bancaire et le logo de la banque sur la façade. Plus vrai que vrai. Le problème, c’est que si les clients pouvaient ouvrir un compte et y déposer de l’argent, il leur était en revanche quasiment impossible d’en retirer".