La meilleure approche pour contrôler une pollution est de la gérer depuis sa source.

Les véhicules routiers ont l'immense désavantage d'être une source de pollution en chacun d'eux: impossible de bien gérer toutes ces sources autonomes et pourtant fort néfaste dans beaucoup de cas: fuite de lubrifiant et/ou de carburant, anti-pollution inefficace, gaspillage, etc...

Le tout-électrique ramènera le contrôle de la source d'énergie à la base, i.e. à la centrale génératrice de l'énergie. Il est beaucoup plus facile de contrôler le fonctionnement d'une centrale que chacun des milliers de véhicules qu'elle peut alimenter.

Quant aux accumulateurs, il est totalement évident qu'en ce moment, les technologies qui seront utilisées étant encore méconnues, les diverses technologies de récupération n'existent pas encore, faute de la l'absence des dits produits. Il faudra quand même attendre qu'il y ait des accumulateurs en circulation pour le début de la récupération des dits accumulateurs désuets.

Encore ici, tout sera question de coût: si les gouvernements, encore une fois, mettent en place des règlementations qui favorisent le produit neuf au détriment de la récupération, ben on aura répétition des bateaux secrets qui vont vider en bas de l'Équateur.