Mon fils veut acheter une moto Suzuki, SV 650. Mais dans l'affaire, il entendait qu'on lui reprenne son Piaggio Beverly 125 en parfait état et qui n'a pas deux ans. Il est donc allé chez mon vendeur de Burgs, un conc' que je connais bien, qui n'a pas voulu lui reprendre le Piaggio. Mon fils est donc allé ailleurs.
Je suis passé ce matin pour tenter de comprendre pourquoi Motomixte (Suzuki Genève) préférait manquer une vente plutôt que de reprendre un scoot qui n'a jamais connu de problème et qui a quelques milliers de kil seulement.
La raison ? On ne veut plus travailler avec les Italiens, quelle que soit la marque, mais Piaggio-Scarabéo en particulier, parce qu'en cas de problème, on ne parvient pas à obtenir les pièces. C'est la croix et la bannière pour des véhicules qui sont bien plus souvent en panne que les japonais. Et on préfère de loin manquer la vente !