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@ tof
merki !!
Dernière modification par Djédjé ; 02/10/2007 à 13h59.
@ cocola
En fait, si j'ai bien tout compris, tu m'envoies sur ma MP ton adresse mail privée pour que je puisse t'envoyer l'article que j'ai scanné.
Dernière modification par Djédjé ; 02/10/2007 à 14h00.
@ Raymond
C'est exactement cela car la MP ne prend pas les pièces jointes
Dernière modification par Djédjé ; 02/10/2007 à 14h00.
Pour rester dans la même lignée que ce post, voici un essai du satelis 400.
Le 400 est le scooter de la famille Satelis qui se veut le plus polyvalent, se montrant aussi performant en ville que sur autoroute. Un cahier des charges bien souvent difficile à réaliser et qui a demandé pas mal de temps au bureau d’étude Peugeot qui propose un système particulier de montage du moteur oscillant. Le 400 est une proposition plus abordable financièrement mais aussi en termes d’expérience avec un moteur moins pêchu mais une agilité accrue.
Si la version 400 du Satelis, a été faîte en premier lieu pour les Italiens, car là-bas, les assurances sont très avantageuses pour les 400. Cette cylindrée est aussi accessible chez nous aux jeunes permis moto de moins de 20 ans car sa puissance culmine à 32 chevaux. Si, sur le papier c’est la seule différence, nous allons voir qu’à l’usage son comportement change un peu, alors qu’aucun élément du châssis n’est modifié entre le 400 et le 500. Mais surtout ce qui étonne c’est une différence de tarif importante, largement en faveur du 400 avec 700 euros de moins !
Nouvel ancrage du moteur DSL …
Jusqu’à présent nous ne connaissions que le Satelis 250 et par rapport à ce dernier de nombreux éléments ont été modifiés afin de proposer un engin au comportement routier irréprochable. A commencé par un cadre renforcé, associé à un nouveau support moteur –le DSL ou Dual Swinging Luckage- qui réalise plusieurs actions : filtrer les vibrations, conserver les deux roues parfaitement alignées dans l’axe et limiter les mouvements oscillant du moteur. On ajoutera une roue arrière qui passe en 14 pouces avec un pneumatique en 150/70 x 14 afin de transmettre la puissance et d’asseoir le scooter en courbe. A l’avant, la fourche passe de 37 à 40 mm de diamètre et la roue reçoit un double disque, mais sans couplage comme on peut le trouver sur les Piaggio X9 avec ce type de freinage à 3 disques. Peugeot propose donc son ABS-PBS sur ce modèle, comme pour le 500 avec le système FTE qui ne met en jeu d’un disque avant et un disque arrière. Le régulateur n’est plus celui du 125 qui se montrait un peu brutal à basses vitesses, mais la dernière génération, plus dosable en dessous de 30 km/h et aussi moins encombrante. L’ABS, lié au circuit n’agit que sur la roue avant alors que le PBS régule les deux freins en même temps au levier gauche. En cas de défaillance, le voyant rouge s’allume au tableau de bord et le circuit reprend un fonctionnement classique avec le gros du freinage au levier droit.
La dernière évolution, et certainement la plus visible, est l’adoption d’une nouvelle selle avec partie centrale pilote en molesquine et dosseret pour le passager.
Ligne et équipement identique
Côté équipements, le Satelis 400 reste un Satelis. Instrumentation riche et élégante, coffre à ouverture automatique et télécommande (2 intégraux) et ergonomie orientée vers le confort et l’accessibilité, le « maxi » de Peugeot est identique en tout point au 125 ou au 250. On retrouve en toute logique le même défaut avec des volets de trappe et rangements laxistes et plastiques un peu « cheap « pour un maxiscooter. Le Satelis 400 est également proposé en trois versions : Premium (standard), City (chaîne intégrée Abus) et Executive (chaîne et ABS). Côté moteur, le 400 se distingue par une cylindrée moindre de 399 cm3 contre 493 avec une perte de seulement 5 chevaux pour rapport au 500 ainsi qu’un couple légèrement inférieur de 38 Nm contre 42 au même régime de 5250 tr/mn. Le 400 ayant pour principal avantage, ou inconvénient suivant comment on se place, une délivrance de la puissance plus linéaire et progressive.
En s’installant à bord, on remarque aussi que la béquille latérale n’est plus à rappel automatique mais dispose d’un coupe-contact moteur, gage de sécurité pour les distraits. On est bien installé avec une position agréable et reposante. Les pieds peuvent être étendus ou repliés, au souhait du pilote alors que les rétroviseurs permettent une bonne vision avec les glaces asphériques (suppression de l’angle mort) et réglables.
Hyper maniable et vif
Dès les premiers mètres, on constate un comportement plus vif –accru sur la version ABS ne possédant qu’un seul disque à l’avant et donc moins de poids-. Déjà que le 500 se montre très polyvalent, le 400 se veut encore plus maniable et permet des changements de trajectoires et des placements en courbes plus faciles. On est même surpris de cette vivacité dans un premier temps. Côté moteur, les différences se font surtout au démarrage, le 400 affichant un léger trou au démarrage qui lui fait rendre un bon mètre au 500. Le 500 fait le trou jusqu’à 90 km/h puis l’écart se stabilise car le 400 ne rend que 5 km/h au 500 avec 150 km/h chrono en vitesse maxi. A la relance, en sortie de courbe, le moteur se veut plus onctueux et doux ce qui facilite également le pilotage de ce scooter pour les moins avertis. Au niveau de la conso, rien à redire avec seulement 4,7 l/100 km en usage mixte, soit 300 km d’autonomie.
Agile et véloce
Sur ce Peugeot, les trajets urbains sont aussi faciles qu’avec le 125, mais avec la puissance et la réactivité en plus. On se faufile sans dommage, alors que les demi-tours sont remarquables de facilité avec un rayon de braquage record dans le segment où l’on a souvent affaire à des « camions ». Sur voies rapides, le 400 se montre stable et absorbe correctement les raccords et autres bosses de la chaussée. Il bouge un peu, mais reste en ligne et passe sans osciller ou tanguer comme bon nombre de ses concurrents. Si le moteur est plus calme que sur le 500, le freinage reste méchant et pourra surprendre. Le double disque avant est très mordant, mais parfaitement dosable. Le seul risque de blocage venant du freinage réflexe car il n’y a pas de couplage avant /arrière. On lui préfèrera le modèle Executive doté de l’Abs qui se montre finalement plus sûr et tout aussi efficace, mais toutefois moins mordant. Cette version comprend aussi, pour 600 euros de plus, la chaîne abus qui se verrouille directement sur le cadre, à l’arrière du scooter.
Le Peugeot Satelis 400 réalise un précieux compromis que peu de constructeurs parviennent à réaliser sur ce segment. Agile en ville, véloce sur voie rapide et sain en toutes circonstances. Le Peugeot se fait même docile dans cette version 400 et ne surprendra pas si ce n’est pas son tarif attractif et sa version ABS encore peaufinée en agrément.Conclusion
Vitesse maxi : 150 km/h
Accélération 0-100 m : 7.8 sec
Diamètre braquage : 4500 mm
Conso. moyenne : 4,7 l/100 km
Autonomie : 300 km
je vais chercher le mien tout à l'heure . j'ai pris le premier prix ( pas de chaine , pas d'abs ) en couleur noir
Le premier Satellis 400 sur ce site... ça s'arrose... Je prendrais le double de Muscadet ce soir... avant que mon 400 Majesty n'arrive!!!
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