C'est officiel, est c'est J. Copé, président de la Commission des transports qui l'annonce :

« Il semble qu’il existe beaucoup d’études concurrentes dont les rapports sur l’efficacité de ces appareils sont pour le moins confus. Tandis que le véritable impact sur la sécurité de l’utilisation de ces radars demeure, au mieux, imprécis, un élément est apparu clairement à la commission : de plus en plus de villes [...] paraissent plus concentrées sur les revenus qu’elles tirent des conducteurs plutôt que sur les techniques d’une gestion saine de la circulation ; et franchement, cela me pose un vrai problème. »

Le Département des transports a donc annoncé que les membres de la commission des transports avaient décidé à l’unanimité de rendre ces appareils illégaux.

Ah ? On me souffle dans l'oreillette qu'il ne s'agit pas de Jean-François Copé mais de Johnny Cope, Président de la commission des transports du Nouveau-Mexique. C'est un détail, car tout le reste est véridique : les villes d’Albuquerque, Las Cruces et Santa Fe ont 60 jours pour ôter les radars de feu rouge et les radars de vitesse actuellement en place. A l’avenir, donc, les radars ne seront donc plus autorisés que sur les routes locales.

Et le gouverneur du Nouveau-Mexique, Bill Richardson de soutenir la mesure : « Après 6 ans de radars de feu rouge au Nouveau-Mexique, je demeure profondément sceptique sur cette approche excessive et "big brother" de la sécurité publique. Je soutiens pleinement l’interdiction de ces radars et des camionnettes (avec radar embarqué, NDLR) sur les routes et autoroutes d’État et fédérales, et je félicite la commission des transports d’avoir pris une position décisive sur cette question. »

Source : motomag.com