Re : La revue de presse de Granturismo
La question existentielle du jour : "faut-il craindre les radars mobiles de nouvelle génération, fraîchement homologués ?"
"Ces radars dits mobiles-mobiles, installés sur des voitures banalisées - une vingtaine de Renault Mégane 1.5 dCi dans un premier temps -, viennent en effet d'obtenir leur homologation de la part du LNE*, et les verbalisations vont donc pouvoir commencer."
Où l'on apprend que la marge d'erreur étant la double de celle des radars cabines, seuls les excès de vitesse supérieurs à 20 km/h pourront être verbalisés.
L'article cite plusieurs autres raisons qui devraient limiter l'efficacité de ces nouveaux radars.
Re : La revue de presse de Granturismo
Les moyens quasiment sans limite mis en œuvre pour sanctionner les excès de vitesse sont indécents au regard des évidentes négligences qui conduisent à certaines dégradations du réseau routier (nids de poules laissés au milieu de chaussées, voire de rond-points, accotements dangereux simplement signalés par un panneau mais jamais améliorés...), et à l'absence d'aménagements en certains endroits qui résultent à des configurations hautement accidentogènes (carrefours dangereux mais laissés tels quels tant que plusieurs accidents mortels ne s'y sont pas produits... et encore, si vitesse et alcool n'y sont pas pour quelque chose, autrement le bouc émissaire est tout trouvé); je suis convaincu que chacun connaît des exemples de ces négligences tout à côté de chez lui.
Si au moins les revenus de cette stratégie étaient utilisés pour améliorer systématiquement le réseau routier et les infrastructures... Qu'en est il réellement?
Re : La revue de presse de Granturismo
Re : La revue de presse de Granturismo
Il y a quand même de grandes différences entre le coût des outils nécessaires au contrôle de la vitesse et celui de l'entretien des routes, des aménagements etc.
La première est que dans un cas c'est l'Etat qui finance, et dans l'autre ce sont les collectivités locales.
La seconde est que la première dépense s'auto-finance (et de plus permet d'engranger des recettes supplémentaires) alors que les bénéfices de la seconde est très difficilement mesurable, surtout d'un point de vue financier.
La troisième est qu'il est facile de communiquer sur la réduction de nombre de morts sur les routes liés à la baisse de la vitesse, alors que c'est bien plus difficile pour celle liée au bon état des routes, à l'aménagement des carrefours etc
Re : La revue de presse de Granturismo
Don't sniffle and drive: Driving with a cold can be as dangerous as drunk-driving (conduire avec un rhume peut être aussi dangereux que conduire bourré)
Le Daily Mail nous explique que selon une étude galloise, le temps de réaction au volant est plus long avec un rhume qu'après avoir bu 4 pintes de bière (soit dans les 2 litres, toute de même). Sans compter qu'en éternuant, on quitte la route des yeux pendant plus de 3 secondes.
Source : motomag.com
Re : La revue de presse de Granturismo
Citation:
Envoyé par
Granturismo
Le Daily Mail nous explique que selon une étude galloise, le temps de réaction au volant est plus long avec un rhume qu'après avoir bu 4 pintes de bière...
Source : motomag.com
:scratch_one-s_head:
Ils ont comparé un conducteur ayant bu 4 pintes de bière avec un autre conducteur, enrhumé ET ayant bu lui aussi 4 pintes?
Il faut dire qu'ils tiennent bien l'alcool les gallois.
L'entraînement sans doute.
A quand un thermomètre rectal anti-démarrage? :xange3:
Re : La revue de presse de Granturismo
En fait non. Je pense qu'il faut lire RHUM au lieu de rhume. Ce qui s'explique aisément par une tendance protectionniste du patrimoine Gallois. J'ai faux ?
Re : La revue de presse de Granturismo
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GO ZEN
En fait non. Je pense qu'il faut lire RHUM au lieu de rhume. Ce qui s'explique aisément par une tendance protectionniste du patrimoine Gallois. J'ai faux ?
Ah, OK, il fallait donc lire:
"Le Daily Mail nous explique que selon une étude galloise, le temps de réaction au volant est plus long après un rhum qu'après 4 pintes de bière..."
Re : La revue de presse de Granturismo
Re : La revue de presse de Granturismo