C'est effectivement une question de temps. Par ici, on voit déjà des projets industriels grand consommateur de gaz s'installer sur des sites potentiels fort en gaz de shiste. Ce qui, incidemment, est probablement la moins pire des solutions: pas de transport et traitement industriel des rejets. Évidemment, si tout cela est bien géré, tant industriellement que politiquement.
Là est tout le défi: la bonne gestion.