Re : Jerrican et transport d'essence.
Pardonnez moi de vous demandez de m'excuser,:blush:
mais je parle bien de surpression.
Si c'était une dépression, je ne pourrais pas ouvrir le bouchon de réservoir a l'instar d'un bocal de framboises a l'armagnac équipé d'un joint orange qu'il faut tirer comme un fou, afin de faire RENTRER de l'air et ainsi, en équilibrant les pressions, pouvoir accéder au produit tant convoité.:gulp:
Dans mon cas, la similitude serait plus proche de la bouteille de champagne ou de cidre artisanale (les soucis gastriques en moins...) et le bouchon, sans me sauter, tel un chien affectueux, a la figure, est "poussé" vers l'extérieur.
La proximité entre le réservoir et le moteur (chaud) ainsi que le fait que, la plupart du temps, on fait le plein du réservoir lorsque celui-ci est presque vide, on retrouve la trame initiale du jerricane plein contre le pot de terre et de la grenouille qui voulait être plus grosse que le bœuf!
De plus, pour appuyer et conclure mon propos, vous serez d'accord qu'il est tout simplement et scientifiquement impossible d'être en dépression au guidon d'un Big Burg! CQFD! (et hop! comme dirait Achille)
Seb (antidépressif chronique)
ps: ceci dit une pression intérieur n'est rien d'autre qu'une dépression extérieure...question de point de vue!:uglyhamme
Re : Jerrican et transport d'essence.
on va pas épiloguer :)
sans doute s'agit-il d'une différence (par rapport à l'atmosphérique) de pression générée soit dans un sens - en roulant le niveau du réservoir baisse donc flurp dépression - , - quand il fait chaud l'essence s'évapore et provoque une surpression schoiup -.
dans les deux cas, c'est bien que le circuit est étanche, et que l'évaporateur doit s'occuper de rééquilibrer tout ça.
A éclaircir cette affaire.:hat:
Re : Jerrican et transport d'essence.
C'est ça ! C'est schoiup!
Seb (schoiupeur amateur)